
“C’est le jour
et la nuit”
Découvrez la différence de qualité d’image
grâce au contrôle automatique de la dose
Déjà reconnue comme une solution de pointe en imagerie 3D,
l'OP 3D™ LX
franchit un nouveau cap avec l’introduction d’une fonctionnalité innovante. Le Dr Andrew Stiles, chirurgien maxillo-facial à Coral Surgery (Floride, États-Unis), résume son expérience en une phrase percutante : « C’est comme si nous avions soudainement mis des lunettes : les images deviennent instantanément plus nettes.
Grâce au contrôle de la dose automatique (ADC), l’appareil analyse automatiquement la morphologie du patient pour ajuster le niveau d’exposition. Résultat : une qualité d’image optimale avec une dose maîtrisée, parfaitement adaptée à chaque type d’examen.
Les premiers praticiens utilisateurs saluent unanimement cette avancée, soulignant une amélioration spectaculaire de la clarté et de la cohérence des images.
Le Dr Stiles, initialement peu convaincu de la nécessité d’activer cette option, a rapidement changé d’avis après l’avoir testée.
Du doute à la conviction : l’expérience du Dr Stiles
Spécialiste des interventions allant des extractions simples aux chirurgies complexes, le Dr Stiles utilise quotidiennement l’OP 3D LX pour ses examens 3D à large champ de vision.
Nous réalisons entre trois et huit examens 3D par jour avec notre OP 3D LX », estime le Dr Stiles. « Nous effectuons rarement des panoramiques, et utilisons principalement notre OP 3D LX pour des images à large champ de vision.
Peu adepte de la fonction repérage, il décide néanmoins de l’activer avec l’ADC, le temps d’une journée.
Mon équipe craignait que cela ralentisse notre flux de travail », confie-t-il. « Mais dès les premiers clichés, la différence était flagrante. Depuis, nous l’utilisons systématiquement.
Une netteté d’image qui change tout
En comparant les images prises avant et après l’activation de l’ADC, la différence saute aux yeux », explique-t-il. « Avant, certaines images manquaient de netteté. Avec le repérage activé, chaque cliché est d’une clarté exceptionnelle.


Pour ses jeunes patients, dont l’os cortical est plus fin et le développement encore en cours, le Dr Stiles apprécie particulièrement la capacité du contrôle automatique de la dose (ADC) à ajuster l’exposition aux rayonnements de manière ciblée. « Le contrôle automatique de la dose adapte la dose de rayonnement pour un enfant de 8 ans et produit une image remarquable dès le premier cliché de repérage. À l’inverse, un patient plus âgé avec une corticale épaisse nécessitera une dose légèrement plus élevée pour obtenir la même qualité d’image. Avec l’ADC, cet ajustement se fait automatiquement, garantissant une image parfaitement nette. »
Dans les cas où une dent surnuméraire doit être extraite, le Dr Stiles utilise la fonction de repérage comme un véritable guide chirurgical, lui permettant de localiser avec précision la dent à retirer.
« Grâce à l’excellente qualité d’image, je n’ai plus besoin d’explorer autant », explique-t-il. « Je peux réduire la longueur de l’incision et limiter le forage, ce qui signifie moins de douleur pour le patient et une cicatrisation plus rapide. »
Chez un autre patient, le contrôle automatique de la dose a permis de révéler des calcifications bilatérales des artères carotides, suggérant la nécessité d’une endartériectomie carotidienne bilatérale. « Les calcifications sont très visibles sur l’image », précise-t-il. « On les distingue clairement sur les parois médiale et latérale. J’ai donc pu recommander au patient de consulter son médecin, car cela représente un risque accru d’AVC ou d’urgence médicale. »
Dans un autre cas, l’ADC a mis en évidence un volumineux calcul amygdalien. « On voit parfaitement la forme arrondie du tonsillolithe et la présence de calcifications dans les amygdales », indique le Dr Stiles. « J’ai pu rassurer la patiente : rien d’urgent, si ce n’est une possible mauvaise haleine. Je lui ai simplement conseillé de consulter un ORL pour envisager un retrait. »
Bien que son équipe ait d’abord exprimé quelques réserves à l’idée d’ajouter une étape avec le repérage elle a rapidement reconnu les bénéfices. « Cela leur prend à peine une minute de plus, mais l’amélioration de la qualité d’image en vaut largement la peine », affirme-t-il. « Aujourd’hui, le repérage fait partie intégrante de leur routine. »
Pour le Dr Stiles et son équipe, la différence avant et après l’activation de l’ADC est tout simplement “le jour et la nuit”. « C’est comme si nous avions soudainement mis des lunettes pour lire les images », conclut-il. « La clarté est bien plus prévisible, ce qui renforce la confiance dans le diagnostic et la planification du traitement. Les patients comme le personnel se sentent également plus rassurés quant à l’utilisation des rayonnements. C’est un ajout précieux à l’OP 3D LX et à notre pratique. »